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La refondation de la fédération : Les structures
Le 16/08/2022
La refondation de la FRME
4. Les structures
Maroc Echecs , Par Boujemâ Kariouch
Publié le mercredi 28 novembre 2007.
Je suis réveillé, et voilà ce que je veux !
Et s’y on y pensait un peu ?
Par Boujemâ Kariouch
LA REFONDATION DE LA FRME
4. LES STRUCTURES
La Fédération Royale Marocaine des Echecs doit se doter d’une capacité d’adaptation et de réaction aux mutations et aléas de notre temps. En effet les maîtres-mots de la réussite pour une institution sportive telle que la FRME seront la flexibilité (c’est-à-dire la possibilité de transformation de l’intérieur d’une construction sans modification de l’enveloppe), la souplesse de réponse aux sollicitations et besoins mouvants des composantes de notre sport.
L’organisation et la restructuration de la Fédération, autant que la rapidité de prise des décisions et la qualité des réponses à apporter aux exigences du moment que ce soit sur les plans administratifs que techniques et humains, importent au plus haut point.
C’est pourquoi la refondation de la FRME doit porter sur ses différentes fonctions qui nécessitent examens, bilan et ensuite synchronisation et équilibre des potentiels techniques, financier et humain. Ce qu’il faut éviter, c’est l’existence d’un maillon faible dans la chaîne.
Cependant la refondation de la FRME ne doit pas porter uniquement sur la Fédération en tant que bureau fédéral, celui-ci n’est pas « détachable » de son milieu échiquéen et sportif, il dépend de son environnement : les ligues, les clubs, les pratiquants, les cadres, la communication, la formation, l’éducation… Bref, tout est lié par un tas d’éléments interdépendant dans la pratique comme dans l’espace échiquéen qui est le notre.
On estime que la valeur ajoutée d’une performance ou d’un résultat est générée pour 35% par le travail du bureau fédéral lui-même, alors que 65% proviennent du milieu ambiant (Ministère de tutelle-commissions-ligue-clubs-pratiquants-cadres). C’est pourquoi la mobilisation de la totalité des composantes de l’environnement du bureau fédéral doit faire l’objet d’une mise à niveau parallèle à la refondation de la FRME. Viser la qualité (et non plus la quantité qui est trompeuse sur la santé d’un sport), l’efficacité et l’optimisation des capacités.
Ce sont autant les moyens matériels qui sont en ligne de mire que les aspects immatériels : viser l’excellence des capacités, maximiser le sens de l’initiative des dirigeants et des cadres, la créativité et la combativité pour faire face aux difficultés que l’on doit inévitablement attendre de pied ferme.
Il est clair que l’enjeu de la refondation de la FRME en vaut la chandelle. Notre sport doit compter d’abord sur ses propres moyens, surtout au niveau de ses ressources humaines. Tout le monde à son mot à dire. Amazal, c’est fini. Malgré les retombées « négatives » qu’il laissera de son passage contesté à la tête de la Fédération.
Mais si, ce que je propose, est dense, cela sera plus au moins rentable à terme. Car la Fédération a vécu depuis sa création dans une activité « protégé » par ses différents bureaux, ce qui l’a rendu peu « compétitive » : organisation des compétitions inégales, outils de travail plus ou moins obsolète avec des ressources humaines peu valorisées, un processus de formation insuffisant, un taux d’encadrement faible et surtout une gestion et une organisation qui laissent à désirer, bien que tout évolue et s’améliore par ailleurs… Constat : La FRME est dépassé par son environnement exigeant.
Nous avons parlé lors de nos précédents articles sur cette refondation indispensable de notre Fédération : 1. La mentalité ;
2. Les ressources humaines ;
3. Les statuts.
Dans le présent article, il s’agit de revoir nos structures intérieures. C’est-à-dire nos « outils » de travail.
Etape nécessaire pour faire face aux défis futurs :
Quelles sont ces structures actuelles :
Voilà, ce que nous possédons en structure selon les statuts de la FRME.
Comment je vois le nouvel organigramme de la FRME :
1. L’Assemblée Générale
L’organe suprême de la FRME gagnerait en sang nouveau si le droit de vote était donné à certaines composantes importantes de notre sport. Il est important que le duo FRME-CLUB n’ait plus le monopole du destin de toutes les composantes des échecs marocains. Ces dernières, très marginalisées, doivent pouvoir dire ce qu’elles pensent.
2. Le Conseil des Sages
Voila un organe très utile en ces temps ou, à tord ou à raison, les étincelles s’allument et les esprits s’échauffent précipitamment avec les conséquences que l’on peut redouter. Avec une composition super très sélective (dans anciens présidents, joueurs et cadres de haut niveaux, etc.) leur consultation et leur avis sur un sujet chaud servira de pompier à éteindre le feu dans la mesure le recours à leur sagesse sera accepté par tous.
3. Le Conseil Fédéral
Cette structure doit reprendre son rôle de contrôle et de régulateur. C’est-à-dire examiner et approuver les décisions touchant à la programmation des compétitions, les décisions importantes du BF, les projets de nouveaux règlements, les appels contre les décisions du bureau fédéral ou des commissions, l’application des recommandations de l’assemblée générale, etc. Il sera composé des membres du Bureau Fédéral et des Présidents de Ligue. Toutes personnes utiles pourra participer aux travaux du Conseil mais sans le droit de voter. Le droit de vote est réservé uniquement aux présidents des ligues (C’est-à-dire les clubs et associations d’échecs marocains).
4. Le bureau Fédéral
Outre le fait d’appliquer la politique générale suivant les recommandations de l’Assemblée Générale, la gestion courante administrative et la supervision des compétitions nationales officielles ou autres actions de formation et de développement et de relations, le bureau fédéral aura une tâche de coordinateur et de contrôle générale sur la marche et l’évolution de notre sport aidé, en cela, par le Directeur Technique National et les commissions. Ainsi le bureau fédéral sera plus politisé, efficace et laissera les compétences travailler dans leur domaine respectif (sous son contrôle bien sur).
5. Le Directeur Technique National
Il s’agit ici de préciser le rôle du Directeur Technique National qui ne doit pas être un directeur administratif ou un homme à tout faire. Sa tâche est de penser et de présenter une politique sportive pour l’exercice en cours du bureau (4 années). De proposer les moyens de sa mise en ouvre. De proposer aussi les hommes qu’il faut à la place qu’il faut dans les commissions. Il agira également en coordinateur entre le bureau fédéral d’une part et les ligues et les commissions d’autre part, mais en restant toujours dans le domaine technique dans le cadre de la politique sportive approuvée par le bureau fédéral et le Conseil Fédéral.
6. Les Ligues
Outre les dispositions inscrites dans le statut de la FRME, les ligues devront avoir pour compétence :
• Relations avec les collectivités locales de leur région ;
• Relations avec la presse ;
• Discipline ;
• Arbitrage (Direction Régional de l’Arbitrage) ;
• Technique :(Classement, homologation (Tournoi de parties rapides et de parties cadencées n’incluant que les joueurs de la Ligue) ;
• Formation de l’élite régionale ;
• Organisation des compétitions régionales officielles (Eh oui !!!!!) ;
• Suivi administratif et financier de la politique nationale sportive à leur niveau (Leur président de la ligue siège de droit au Conseil Fédéral) ;
Note particulière : Il est plus que nécessaire que les ligues prennent du poids dans la structure fédérale. C’est une question qui fait l’unanimité, mais il faut la concrétiser enfin ! Dans cet esprit, je proposerais prochainement un projet de statut pour les ligues avec toutes les annexes organisationnelles. Pour moi, personnellement, nous devons revaloriser d’urgence les ligues (avec les clubs surtout).
7. Les Commissions Nationales spécialisées
Il serait très long, ici de présenter les propositions de règlement intérieur définissant le rôle et l’organisation pour chaque commission spécialisée (que je peux présenter en temps voulu, le cas échéant), je resterais sur des idées générales à titre de contributions personnelles.
7.1. La Commission d’Arbitrage (Ou Direction Nationale de l’Arbitrage)
Cette commission si elle avait tenue son rôle comme il le faut, il n’y aurait jamais eu de scandale de l’arbitrage marocain. Le laisser aller dans lequel elle se trouvait est franchement scandaleux. Il faut des gens compétents qui puissent restructurer l’arbitrage national. Avoir une indépendance de décision concernant les nominations des arbitres à telle ou telle compétition nationale. Ils doivent suivre la carrière de chaque arbitre marocain et décider en premier lieu des promotions ou des sanctions. Entreprendre une formation poussée et adéquates des nouveaux arbitres tout en mettant en place des stages de rafraichissement pour les anciens. Pourquoi pas des points de notation pour connaître ceux qui officient bien et ceux moins bien qu’il faudra remettre à niveau. Ainsi elle aura notamment pour principal tâche :
• D’assurer l’organisation de stages de formation d’arbitres, dans un souci de rigueur, de compétence d’uniformisation du savoir-faire et de réactualisation des connaissances
• D’assurer l’organisation de sessions d’examen (Sans examens, il n’y a pas d’arbitre digne de ce nom !!!)
• De tenir à jour un fichier national des arbitres marocains
• De siéger au sein de la commission d’éthique et de discipline et des règlements
• De gérer éventuellement son budget.
7.2. La Commission Technique
Sur le plan technique, cette commission aura un rôle très important en matière de gestion technique. La Commission technique doit avoir pour but :
• De contrôler toute la vie technique de la Fédération ;
• D’assurer l’amélioration du niveau des joueurs marocains par l’établissement d’une politique échiquéenne sur le plan technique en étroite concertation avec le directeur technique national ;
• D’assurer la gestion technique de la Fédération dans le cadre d’un budget voté par l’assemblée générale ;
• D’assurer la participation du Maroc dans les compétitions internationales et la sélection des joueurs marocains ; elle peut déléguer ses prérogatives à un Comité de sélection composé de 5 membres proposés par le Directeur Technique National ;
• De faire des propositions concernant les joueurs de haut niveau ;
• De veiller à ce que les manifestations organisées dans le cadre des activités de la Fédération respectent le minimum de conditions d’organisation et de confort acceptables, le respect des règles d’application des tournois, les appellations officielles et les cahiers des charges de la Fide et de la FRME ;
• D’établir le classement annuel (ELO national) ; • D’établir le calendrier Fédéral officiel des compétitions en concertation avec d’autres commissions concernées (notamment les stages de formations : cadre, arbitrage etc.…) ;
• De gérer la direction des tournois et leur homologation ;
• De conseiller les ligues qui feraient appel à elle ;
• D’établir un règlement pour les compétitions nationales et veiller à leur bonne organisation ;
• D’établir un règlement permettant d’accorder des titres de Maître Nationaux (qu’on a vite oublié) ;
• D’établir un programme d’action dans le secteur scolaire.
Note particulière : Cette commission illustre : « Le sport entre les mains des techniciens » On aura compris cette nécessité alors qu’auparavant le bureau fédéral monopolisait pratiquement tout : la gestion administrative, la gestion technique sans politique sportive, l’organisation des compétitions, la programmation, la communication, etc. Bref, la centralisation à outrance…
Dans les commissions, il faut éviter au maximum les doubles ou triple emplois. Un tel se trouve dans deux ou trois commissions ( ?). Il faut laisser la place aux gens qui veulent travailler. Et il y en a beaucoup. Pour la composition de cette importante commission elle peut se composer de 13 membres, 11 membres élus et deux membres de doit : le Président Fédéral et le Directeur Technique National.
Le Directeur Technique National propose les 11 membres élus de la Commission. Cette proposition doit être approuvée par le président fédéral puis par le Conseil Fédéral. Des chargés de mission peuvent être nommés pour une certaine période par le Directeur technique National.
7.3 La Commission d’éthique et de discipline et des règlements
Cette commission doit être composée de personnes ayant une formation ou une expérience dans le domaine des règlements. Le barème des sanctions disciplinaires doit être respecté. Il est inadmissible de décider des sanctions de 2, 5, 10 ou 20 ans sans rapport avec la réalité des faits incriminés. Il n’y a jamais d’avertissements, de blâmes. Rien que des suspensions brutes ! Des suspensions parfois déjà jugées avant le terme de la procédure. La composition de cette commission doit également faire débat sur le choix précis de ses hommes…Par ailleurs si la fédération possède des statuts, et un règlement des compétitions (à revoir) par contre elle ne possède pas de REGLEMENT INTERIEUR ! Et, encore moins, de charte d’éthique. Il faudra se pencher là dessus.
7.4. La Commission des statiques, d’évaluation du développement et des archives
Tellement Il est aberrant et honteux que nous ne possédions aucuns chiffres viables sur notre sport, autant la création de cette commission est nécessaire. Cette commission aura aussi un rôle important, celui de présenter une évaluation annuelle sur le développement de notre sport, avec chiffre à l’appui. Afin que les structures concernées puissent faire le recadrage correspondant si nécessaire. Avec un tel tableau de bord nous saurons ou nous allons et le cas échéant quelle direction prendre. A un travail donné correspond une production. A une production correspondant une croissance. Il faut le vérifier continuellement. Les archives constitue un matériel riche en données !
7.5. La Commission des Finances
Si chaque commission a un rôle important, la Commission des Finances en a encore plus. La recherche des nouvelles possibilités de ressources ponctuelles ou stables, le suivi des finances fédérales assurera une transparence et une confiance dans la gestion générale des finances de la FRME, les conseils aux ligues et clubs sur le comment faire pour se procurer des moyens financiers, etc., sont autant de tâches de labeurs nécessaires. Cette commission qui sera composée de 3 personnes, élues par le conseil fédéral qui en désigne le président pourra être chargé, aussi et surtout, d’examiner les comptes de la Fédération avant leur présentation à l’assemblée générale. Elle se réunit au moins une fois par an, en présence de l’expert comptable qui établit les documents financiers de la FRME. Elle vérifiera en particulier, selon les méthodes habituelles de gestion financière, l’existence de justificatifs pour les dépenses et la conformité et la rationalité des justificatifs avec les activités de la Fédération. Pourquoi pas, s’il n’y a rien à cacher, cela renforcera la crédibilité et la confiance qui nous manquent au sein de la Fédération.
7.6 La Commission de la Formation et de la documentation
La formation des cadres n’a jamais eu de commission pour mettre en place les éléments nécessaires à l’encadrement de nos cadres hautement marginalisés, alors qu’ils sont le maillon de base du progrès de notre sport. Pour éviter l’improvisation et avoir une vraie politique de formation qui nous fait cruellement défaut. Au moment où ce secteur et devenu l’un des piliers sans lequel aucune évolution solide ne peut avoir lieu. Quel sont les documents techniques que la FRME a mis à la disposition des cadres depuis ses dernières années ? Rien. Ici la commission a tout à construire.
7.7. La Commission de la communication et des relations générales
Cette Commission a déjà joué un rôle plus au moins efficace avec la presse nationale sans que l’on sache toutefois qui fait quoi. Il ne lui suffira plus de lancer des articles de presse en matière d’annonces ou de résultats de manifestations échiquéennes nationales. Des articles bien incomplets par ailleurs. Il lui faudra élargir son champs d’actions en veillant à informer la scène nationale échiquéenne et l’opinion publique sur les réunions de travail de toutes les structures fédérales, d’interviews régulières de responsables nationaux, de ligues, de clubs, cadres, joueurs, etc… Elle ne doit plus supporter « les passages à vides » ou les actions ponctuelles.
Par ailleurs le deuxième volet de sa charge à savoir les relations générales constitue une tâche stratégique dans la mesure ou son travail à ce niveau devra se baser sur la recherche des possibilités de partenariat, de soutien à nos joueurs et cadres, d’invitations de nos arbitres, d’échanges de cadres, etc… avec différentes Fédérations et organismes échiquéens de pays amis du Maroc ainsi que des contacts avec les commissions de la Fide (dont celle du développement des échecs).
Au plan national, il faudra approfondir la recherche de parrain, de sponsors, de mécène, de ministères, etc., afin d’élargir l’action Fédérale.
Voila, voila. Ceci dit, j’ajouterais :
La création des commissions officielles est du seul ressort du bureau fédéral devant lequel elles rendent compte de leurs travaux. Chacune de ces commissions comprend au moins un membre du Bureau fédéral.
Répétons-le : Pour maintenir la cohésion indispensable au fonctionnement de la Fédération, le bureau fédéral peut, sur proposition du Directeur Technique National, mettre fin aux fonctions d’un président ou d’un membre de commission s’il juge leur travail insuffisant ou non conforme aux objectifs de la fédération. C’est logique. A bas les coquilles vides !
Et les Clubs ?
Je crois qu’il est nécessaire que l’on se penche un peu vers les clubs. Examiner, étudier les possibilités de leur apporter un soutien moral, technique pour rehausser le rôle local. Rédiger à leur intention une charte des droits et des devoirs. Bref tenir compte de cette composante de base qui ne doit pas être laissé à elle-même dans les conditions présente, vivant dans de nombreux problèmes. Plus que la Fédération, la ligue à un rôle à jouer ici en coordination avec le bureau fédéral. Pensons à eux S.V.P. !!!
Note : Se peut-il que le président de la FRME, le Directeur National Technique et le président de la Ligue concernée puissent se déplacer souvent dans une localité pour rencontrer des responsables et élus locaux afin de les sensibiliser la nécessité de soutenir le ou les clubs locaux d’échecs ? je suis certain que cela donne des résultats en faveur des clubs concernés.
Prochainement : La Ligue.
Les structures
30 novembre 2007 , par Mohamed Moubarak Ryan
Bonjour Boujemâ,
Je voudrais saluer l’effort considérable que tu a consentis, pour réfléchir, concevoir, et proposer concrètement des docments précieux de travail, susceptibles de refonder la FRME et la doter de structures solides : démocratiques, modernes et fonctionnelles, à l’image de ce qu’on entreprend dans les pays développés en matière échiquéenne, notamment la France.
J’ai déjà évoqué cette question cruciale des statuts de la fédération à travers quelques articles et interventions...J’avais - notamment - relevé le fait que la plupart des anciens présidents de la fédération ont négligé ce point capital pour la marche et l’avenir de la fédération. je rappellais bien que monsieur Amazzal, a promis suite à son élection en 2001 de modifier en profondeur le statut de la FRME ; pour proposer après, une trop longue attente, un projet renforçant plutôt ses pouvoirs et prérogatives, avec un système d’élection hybride qui frôle le ridicule : Le président devra proposer immédiatement après son élection par l’"Assemblée Générale" une liste de 20 personnes, dont on devra choisir 12 noms ( 6 de la 1ère divsion, et 6 des autres...). Il a même supprimé le "Conseil Fédéral", instance médiane nécessaire entre l’AG et le BF, pour la remplacer par un "Conseil Consultatif" a carctère purement symbolique, qui ne l’a, par ailleurs, jamais réuni comme le stitpule le réglement de la fédération, c’est à dire deux fois par ans !
Monsieur Azzouzi qui proposa un projet de statut en bonne et due forme, estime que le Président devra être élu par un "collège électral". Cest une approche plausible, mais difficile à adopter en l’état actuel de la situation des échecs marocains qui a besoin d’un dirigeant compétent dynamique, qui sait proposer et choisir une équipe efficace, pourvu qu’elle soit investie, légalement, par l’Assemblée Générale, et donc qui assume sa responsabilité au vrai sens du terme.
Les compétences, les "substances grises" ne manquent pas dans notre pays, pourvu qu’il ait une volonté réelle de changer les choses et aller de l’avant.Cette importante question de refondation ou de modification des structures de la FRME, devra être, à mons sens, un préalable à l’élection du futur président est son bureau fédéral.Une commission devra être alors désignée pour proposer un texte qui soit clair, court et précis ; Alors que les points relatifs à l’organisation des compétitions nationales,des normes d’arbitrage, du fonctionnement des commissions techniques, du classement Elo, des cotisations etc...seront explicités dans le réglement intérieur de la fédération.
A mon avis, l’importance et l’intérêt de la double contribution de Messieurs Kariouch et Azzouzi est de sensibliser les clubs et les échéphiles marocains sur cette question vitale, et de gagner - surtout - un temps précieux, anticipant sur le travail que devra faire une commission spéciale, désignée par l’AG dans les plus brefs délais possibles.
Avec mes sincères amitiés
Les structures
- 30 novembre 2007 , par Boujemâ Kariouch
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Bonjour Très Cher Maître,
Effectivement c’est un travail de sensibilisation, mais aussi il s’agit de lancer des idées devant la necessité, pour ne pas dire l’urgence, de remodeler la structure de la fédération. Cette dernière a montré ses limlites.La gestion de l’ex-président n’a fait que soulignber cette exigence.
J’ai à l’idée pour les prochains responsable qu’ils se mettrent en tête deux choses très importante en matière de procedure :
1.Refondation de la FRME et donc des statuts et la création logique d’un règlement intérieur de la FRME intégrant toutes les structuresqui venaient à être crée. Dans un esprit de construction etd’adaptation à notre époque sur la basede la douleureuse expérience amazaliènne.
2.Puis,là c’est important aussi, de faire le bilan àprès un ou deux, sur l’efficacité et l’efficience de ses changement.Ont-ils été salutaire ? Nous servent-ils ? Contribuent-ils au développement de notre sport ? etc... Et LE CAS ECHEANT(Je crois que cela sera à 100 %) réeffectuer les équilibrages adéquats. Au final nous auront, non pas une nouvelle construction parfaite, mais tout au moins nettement meilleur que ces dix ou vingt dernière années.
Je pense que de cette façons nous agirons d’une manière intélligente.
L’autre point essentiel est "avec qui" et "comment" et "à quel niveau" effectuer ces "changements".Ici je pense plus la base est large plus il aura consensus général.
La période amazal a été illusoire à partir du début de sa présidence, amère et destructrice par la suite. C’est une pagede tournée.Pensons à l’avenir au delà des atagonismes inéhérents à la périodeamazal, serrons nous les coudes, unissons nous pour reconstruire le cadre, notre cadre, dans lequel nous sommes obligé de travailler.
Les travaux de MM.Kariouch et El Azzouzi (je prépare une réponse à son projet de statut)tout aussi intéressant les uns que les autres,n’ontde porté que pour les idées qu’ils renferment surdesquestions de fond. Bien question forme,il faudras’adapter au cadre officiel.
Cher Maître,je suis très heureux de ta précieuse intervention qui en quelques lignes a donné un sens à nos travaux et également à nos espoirs de changement,déjà enrichis par les encouragements et les apports nécessaires deM.Pierre Beiso.
Avec toute ma fidèle amitié.
Boujemâ Kariouch
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Le 15/08/2022
Laila Elamri vit au Canada. Maître national féminin depuis 2006. Maître FIDE Féminin en 2003.
Qatar en 2011
- 3ème au tournoi international de Bagneux (France) en 1997 catégorie U 8 ans
- 1er prix U 8 ans au Championnat International de Paris en 1999
- 2ème prix U 8 ans au tournoi international de Faro au Portugal en 1999
- 1ère de sa catégorie au Championnat International de Rabat et 2002 et 2003 (U12 ans), 2004 (U14 ans)
- 25ème au championnat du monde des U 10 en Espagne en 2001
- Championne du Maroc féminine des U 10 ans en 2001, U 12 ans en 2002 et 2003, des U 14 en 2005 et 2006, des U 16 en 2007, des U 18 en 2009
- Double championne du Maroc par équipes en 2006 et 2007 avec le FUS
- Vainqueure de la coupe du trône mixte en 2007 avec le FUS
- Championne du Maroc toutes catégories en 2006 (à l’âge de 15 ans) et 2009.
- Première ex-aequo au championnat arabe des U 10 en, Syrie en 2001, championne arabe des U 12 en 2002 en Tunisie et 2003 à Qatar (WFM en 2003)
- 4ème au championnat d’Afrique des jeunes U 20 en Lybie en 2003
- Médaille d’or aux jeux pan arabes en Egypte en 2007 au premier échiquier,
- Médaille d’argent aux jeux universitaires en Egypte en 2009
- Médaille de bronze aux jeux pan arabes à Qatar en 2011 au 1er échiquier
- Médaille de bronze au blitz pan arabes à Qatar en 2011
- Joueuse de l’équipe du club PTT de Marseille au championnat français en 2012 et 2013
- 1er prix dans plusieurs tournois nationaux de sa catégorie et plus de sa catégorie (1996-2011)
- Membre de l’équipe nationale féminine au championnat du monde par internet en 2021
- Parties nulles devant Karpov et Kosteniuk en simultanées à Rabat en 2008 et 2010
- Elo Maximum : 1928 (Avril 2005)
La refondation de la fédération : Les statuts
Le 15/08/2022
La refondation de la FRME
3. Les statuts
Par Feu Boujemâ Kariouch.
Maroc Echecs. Publié le lundi 12 novembre 2007.
Je suis réveillé, et voilà ce que je veux ! Et s’y on y pensait un peu ?
Par Boujemâ Kariouch
LA REFONDATION DE LA FRME
3. LES STATUTS
Tout le monde sait à quel point le changement est chose difficile et combien de temps il faut pour mettre en place de nouveaux systèmes organisationnels et de nouvelles structures – comme pour faire évoluer les habitudes et les comportements nécessaires à toute transformation durable.
C’est pourquoi nous devons agir différemment, mais auparavant nous devons essayer de comprendre ce qu’il convient de faire. Quels sont les défis ? Quelles sont les promesses ?
La démocratie est une discussion. C’est aussi un engagement civique pour organiser des discussions sur les éléments fondamentaux qui régissent toutes organisations. La démocratie accorde aussi une place prépondérante au rôle capital que joue chaque individu ou chaque groupe d’individus dans le bon fonctionnement de la société.
Et pourtant, nous devons admettre que notre institution fédérale nous donne aussi matière à réfléchir. En cela que la démocratie inclut en son sein les personnes dépourvues de tolérance tout en excluant ceux et celles qui sont dotés de ce même esprit de tolérance.
La Fédération Royale Marocaine des Echecs est couverte par une actualité troublante et déstabilisante : incertitudes, crises en expansion, sans précédent dans un concert à la fois silencieux et bruyant qui caractérise l’espèce humaine que nous sommes, incapables que nous sommes de démêler ensemble les fils conducteurs ou destructeurs.
La notion de droit qui régente la démocratie au sein de notre fédération, même pour une minorité qui est la nôtre, nous « opposants » soumis à une dictature sous couvert de cette même démocratie, fait que le nombre l’emporte en prenant des décisions révoltantes au mépris de ces mêmes droits supposés nous règlementés, mais qui servent par ailleurs de façade autoritaire.
Aussi, ne faut-il pas se cacher la déception que provoquent certains aspects de la démocratie échiquéenne. Bien trop souvent, l’adoption de comportement d’une aptitude démocratique semble y être une fin en soi, sans rapport avec le bien-être général des composantes de notre sport. De ce fait, il est troublant de constater, souvent au sein de la fédération, une certaine arrogance par une forme acérée d’autoritarisme.
Il est surprenant à mes yeux, par exemple, de constater que l’état dans lequel se débat notre fédération, c’est à dire l’expérience de l’équipe fédérale menée depuis 6 ans par Amazzal, soit le résultat, non pas de la diversité, mais d’une seule et unique version imposée coûte que coûte à tout le monde. Au nom de la démocratie thématiquement amazalienne. Il n’existe pas de solution simple face à une démocratie dont la technique permet de sortir des frontières du droit au vu et au su de tous pour en arriver à des comportements nuisibles et inébranlables.
Est-ce qu’il est sain pour la démocratie que la fédération se trouve sous le contrôle d’un seul groupe. Sûrement pas. Des garanties en bonne et due forme sont essentielles.
La primauté du droit démocratique implique en partie des procédures et la reconnaissance que la loi, pour être loi, ne peut-être capricieuse. Elle le fut cependant pour remplacer Amazzal démissionnaire, par Mounib, 2ème vice président, à la place de Semlali, 1er vice président, pour ne parler que de cet aspect de la violation des statuts de la FRME par une assemblée général dite démocratique.
Mais c’est aussi une substance qui reflète des convictions morales et éthiques profondes concernant le juste, l’équitable, l’acceptable, le bien, le mal, l’injuste, l’inéquitable, le scandaleux.
Comment s’est formée l’opposition à l’autoritarisme fédéral ? La première étape fut la critique de la pratique gestionnaire du président fédéral à l’intérieur de l’échelle de valeurs de la FRME. La deuxième étape fut la critique attaquant l’apparence trompeuse du président de la FRME tout en rejetant le contrôle absolu sur les individus. La première étape de l’opposition vit la lutte de la raison contre l’irrationnel ; la seconde reposait sur la défense du droit naturel contre les prétentions de la raison débridée. Cette rébellion était-elle une révolution ou une contre-révolution ?
Dans l’un ou l’autre cas, elle se réclamait de valeurs enracinées dans le droit et non dans l’archaïsme, donc le non-droit. En même temps, il a toujours existé un courant limité mais sérieux qui critiquait le non droit au nom du droit dont le meilleur exemple est illustré notamment par l’élite des joueurs marocains internationaux, dirigeants et cadres marocains historiques.
Comment la notion de démocratie nous fait-elle faire fausse route en contribuant à instaurer et avaliser l’illégalité qui nous mène, entre autres, aux falsifications des normes d’arbitre international prouvées contre cette institution fédérale dite démocratique.
Comment s’opposer à tout cela ?
On peut et on doit, comme toujours, s’y opposer en se réclamant des idées relatives aux droits naturels de la personne à la liberté au sein d’un état de droit. Car, c’est la liberté dans le cadre de la loi qui constitue l’essence de l’ordre démocratique.
La menace qui pèse aujourd’hui sur les échecs marocains n’est pas le président fédéral en tant que tel mais le pouvoir illimité qu’il possède sur des structures tragiquement faibles. Cela explique l’inadéquation des efforts mis en œuvre pour régler les problèmes de statuts fédéraux hérités du passé.
Lorsqu’un président comme Amazzal ne reconnaît pas aux citoyens joueurs, cadres et dirigeants le droit de se doter d’un support d’information échiquéen qui n’existait pas par ailleurs, lorsque ce président interdit aux joueurs, cadres, clubs et ligues le droit d’intervenir sur ce support d’information, le droit de se protéger en critiquant l’autoritarisme pesant d’un président entouré d’une caste illuminée par le pouvoir présidentiel, lorsque ce président confisque le droit qui les concerne en tant que joueurs, cadres et dirigeants, lorsque ce président se proclame seigneur et maître de la vérité, lorsque ce président manipule le système échiquéen national pour satisfaire ses objectifs personnels (organisateur international notamment et heureusement refusé par la Fide) et lorsque ce président érige la falsification en mode de gestion (la liste est longue), la démocratie du Maroc des Echecs est gravement en péril.
Je pense que tous ces aspects de la démocratie échiquéenne définie par les statuts de la FRME méritent réflexion.
Une idée pour une refondation de la FRME ! Peut-on s’attacher à l’idée d’une démocratie pluraliste ? Un modèle qui intègre certaines composantes de notre sport dans un rôle statuaire ayant le droit de dire leur mot. Certes, le modèle se heurte à des difficultés, mais sous une forme ou une autre, il est le seul qui s’offre à nous. Etant donné la déconfiture manifeste de notre système démocratique échiquéen.
Dans une assemblée générale seul les présidents de club ont leur mot à dire. Pas les arbitres. Pas les cadres (formateurs). Ni les joueurs (nationaux et internationaux). Ni les parents de jeunes joueurs. Sachant que la transmission des aspirations de ces composantes, en principe non négligeable, n’est pas efficiente dans le sens clubs vers Fédération. Beaucoup de problèmes les concernant sont discutés en duo : Clubs et Fédération ! Leurs expressions s’adressant à tous lors d’une assemblée général, offrirait-elle pour autant un puissant remède contre le désiqulibre actuel à l’avantage d’un puissant président ? Je pense que oui ! Le duo Clubs-Fédération a montré ses limites. Une anti-démocratie au sein de la démocratie échiquéenne !
Redonner au Conseil Fédéral le rôle de structure de contrôle et de décision dont il bénéficiait avant la présidence d’Amazzal serait un atout pour rééquilibrer le rôle des ligues d’échecs. Et par là de cette démocratie échiquéenne. Il devient évident que ce présent Conseil Fédéral étiqueté « consultatif » n’a fait que renforcer les pouvoirs du président fédéral. Ainsi ces nouvelles voix engagées dans l’échange de réflexion mettront au défi l’exclusivité et l’irrationalité des clameurs populistes enfouies au sein de la Fédération.
Ces deux points : 1. Intégration de nouvelles composantes de notre sport dans les statuts de la FRME avec un rôle clair et décisionnel ; et 2. Conseil Fédéral revalorisé comme expliqué succinctement ci-haut, constituent, à mon avis, non seulement deux poids menant au rééquilibrage du pouvoir à la tête de la fédération, mais aussi de sortir du « système du parti unique » (Clubs) face au gouvernement (Fédération) qui est le notre encore aujourd’hui.
Bref : deux garde-fous contre les dérapages incessants de notre démocratie échiquéenne unidimensionnelle.
Ainsi la démocratie échiquéenne renaît et s’épanouit dans le dialogue pluriel.
Les statuts
12 novembre 2007 , par mekki azzouzi
Très intéressant article M BOUJEMAA qui illustre parfaitement la situation juridico-politique que vit notre fédération. Mais j’aurais quelques remarques à formuler pour enrichir ce débat.
Concernant les statuts je suis tout à fait d’accord avec vous qu’ils doivent être révisés ils ont été établis « démocratiquement » pour asseoir une dictature présidentielle. A ce sujet je proposerais bientôt un article critique du statut actuel en proposant quelques idées pour un futur statut.
Au sujet du conseil fédéral que vous voulez faire revivre, je proposerais une nouvelle approche qui donnerais à la fois plus d’autorité au conseil fédéral et au bureau fédéral. Le bureau fédéral sera formé par des membres élus par l’AG et les Présidents de ligue en feront partie de par le Statut. Les Présidents de ligues auront ainsi un plus grand rôle a joué au niveau de la gestion fédérale dans sa globalité et au niveau régional ils pourront participer plus activement au développement de leurs ligues en étant plus près de la source du pouvoir à condition bien sur de leur donner d’autres prérogatives que d’organiser un championnat de 3éme division qui n’a de championnat que le nom. Ils pourront ainsi organiser toutes les éliminatoires des compétitions individuels et la Frme se réserverait le droit d’organiser les phases finales pour l’élite dans des conditions respectables. On me rétorquera que cette méthode entravera la marche du bureau fédéral par le nombre élevé de ses membres. Le bureau fédéral ne se réunira qu’un certain nombre de fois limité 1 fois par mois ou tous les 2 mois pour tracer la politique à suivre et laisser le soin à un bureau exécutif d‘exécuter ses décisions. Les affaires courantes de la fédération seront gérées par des commissions, qui auront un véritable pouvoir, sous la supervision d’un comité exécutif qui pourra être composé de 3 ou 4 membres Président SG et TG, etc...La plupart de nos Présidents jouent un rôle de directeur administratif surtout actuellement, alors que le rôle d’un président est de tracer une politique de développement de ce sport et de veiller à son application, d’essayer de trouver des ressources stables pour la fédération, d’unifier la famille sportive et de créer un climat prospère à l’éclosion de talents et de créer une culture de clubs sportifs et non d’association de relaxation et de détente entre autres.
Une autre approche beaucoup plus audacieuse me porterait à proposer que le Président soit élu par le bureau fédéral sans les Présidents de ligue. L’AG élira une douzaine de membres qui désigneront ou éliront parmi eux le Président, le SG, le TG, leurs adjoints ect.. Cette approche a pour avantage de rendre routinière l’élection du Président et de faire baisser les tensions qui précédent généralement toute assemblée élective. On ne verra plus de tournées de candidats pour faire campagne auprès de club souvent en dehors du temps, le nouveau Président aura convaincre seulement les « grands électeurs ». Elle aura aussi pour avantager de donner plus de crédibilité au Président qui sera élu ou désigné par des membres, qui espèreront le, seront à la hauteur, compétents et dignes de la confiance placée en eux par l’AG.
Quant la démocratie que voulez instaurer M BOUJEMAA c’est la démocratie athénienne puisque vous voulez faire participer tout le monde à l’AG clubs, joueurs, parents, arbitres ect… à mon avis il serait plus judicieux que ces composantes soient constituées en amicale, à l’instar de ce qu’il se fait dans d’autres disciplines, et se faire représenter à l’AG et qu’elles aient même droit au vote. Si on ouvrait cette porte nos assemblées pourrait durer une éternité et chaque joueur, arbitre, ect… posera ses problèmes personnels. C’est pourquoi je serais pour une démocratie représentative. On ne peut échapper à la relation club-fédération c’est la base de la création de cette entité fédérale c’est à dire qui fédère les clubs et non les personnes. Maintenant la démocratie est ainsi, elle peut enfanter des systèmes fascistes comme en Allemagne et en Italie dans les années 30 – 40 ou des systèmes qui frisent la perfection démocratique comme en Suisse, Suéde, etc…La démocratie est ce qu’ont font les hommes.
Les statuts DES IDDEES
12 novembre 2007 , par Boujemâ Kariouch
Bonsoir Monsieur El Azzouzi,
Vos idées permettent d’entrer de plein pied dans l’analyse à première vue des changements nécessaires des statut pour arriver à une certaine stabilité et a un équilibre entre la représentativité des composantes échiquéennes nationales. Pour ce qui concerne, les joueurs, les cadres, les parents etc, une amicale pour chacun de ces corps avec une voix à l’AG. Pourquoi pas : C’est déjà un premier pas de fait avec votre idée que j’approuve. L’essentiel pour moi c’est que ces corps qui sont la base du développement de notre sport aient droit au chapitre de leur avenir.
J’approuve l’idée d’élire le président dans le cadre de grands électeurs. Comme vous le dite cela fara baisser la tension concernant l’élection directe du président. puis ce bureau élu sera choisi par l’AG en non plus par le président qui y met souvent ses "proches". Il y aura au sein de ce bureau en outre une responsabilité collective qui ne retombera pas sur un seul homme.
Voilà des idées lancées qui méritent examens approfondis. Bref, il y a des possibilités de trouver une adéquation non pas parfaite mais tout au moins qui puisse tirer les leçons de l’(expérience amazalienne.
Pour les présidents de Ligue je pense qui devraient rester au niveau du Conseil Fédéral. Cette organisme, une fois ses pouvoirs d’antan retrouvés ils pourront assurer un contrôle des décisions importantes prise par le bureau. Ils ne faut pas les mettre dans le même sac que le bureau fédéral. A suivre Très respectueusement. Boujemâ Kariouch
La refondation de la fédération : Les mentalités
Le 14/08/2022
LA REFONDATION DE LA FRME
1. La mentalité
Maroc Echecs , Par Boujemâ Kariouch
Publié le jeudi 11 octobre 2007.
Je suis réveillé, et voilà ce que je veux ! Et s’y on y pensait un peu ?
Par Boujemâ Kariouch
LA REFONDATION DE LA FRME
1. LA MENTALITE
Au niveau de notre espace sportif échiquéen, est-ce que la Fédération Royale Marocaine des Echecs en tant qu’organisme sportif national, censé gérer la pratique et le développement des échecs sur le territoire marocain, accomplit véritablement cette noble mission au service de ses membres ? C’est une question complexe en soi. La réponse donne lieu à de multiples réponses, selon les interprétations objectives ou subjectives que tout un chacun présente devant cette interrogation piège.
Or, en jetant un coup d’œil serein sur la vie échiquéenne actuelle et même depuis ces dernières années, force est de constater les nombreuses carences qui submergent continuellement les échecs marocains : l’insatisfaction des uns et des autres, la démobilisation des forces, des compétences, des idées, de l’impuissance des dirigeants à réformer, des manigances de toutes sortes, une programmation bâclée ôtée de son aspect purement sportif, etc. Bref tout un tas de « freins » bloquant éternellement l’évolution et le développement normal de notre sport.
Peut-on continuer à gérer la FRME, et par là, la pratique échiquéenne nationale de la sorte ? Non, bien sûr. Mais pourtant c’est la réalité actuelle.
Comme aujourd’hui, comme hier et avant-hier, on devient président de la FRME, on serre chaleureusement les mains d’honneur, on répond aux félicitations sincères ou hypocrites, ici et là. On constitue un bureau pour une gestion « facile » (alors que c’est dans la difficulté que l’on peut avancer solidement). On confectionne un programme qu’on tente d’appliquer tant bien que mal. On fait des promesses qu’on ne peut tenir, ici et là. On calme, on donne espoir, on pleure un peu, toujours ici et là,...etc., etc., etc. Point à la ligne.
Bref : Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. Et en avant toute pour un autre tour dans ce cercle vicieux coutumier. Et assassin !
Ce n’est pas de cette manière archaïque que l’on peut répondre aux réelles attentes des gens des échecs marocains.
N’y a-t-il pas, ailleurs, une autre manière de gérer notre sport ? Evidemment que oui, mais encore faut-il pour cela en avoir la force de volonté et la perspicacité avec la compétence nécessaire, cela va de soi.
Comment peut-on gérer la FRME d’une autre manière ? Voilà, voilà, la question, dirais-je à 10 000 points !
Mais d’abord, et avant tout, pour bien gérer une structure comme la FRME, je pense qu’il faut un état d’esprit particulier. Un état d’esprit imprégné par la détermination de dénouer à terme les entraves matérielles et morales qui bloquent la progression naturelle échecs nationaux. Par la prise en compte sérieuse des attentes insatisfaites des composantes de notre sport. Un état d’esprit porteur et visionnaire. C’est-à-dire, schématiquement parlant, jouer dans son esprit 8 ou 10 coups et analyser la position à laquelle on arrive comme le fait un joueur de niveau, voir si ça va, ou si on doit apporter, dès maintenant, avant ou au cours des coups, les changements ou orientations nécessaires. Enfin, c’est aussi un état d’esprit démocratique. Qui pense avec et pour les gens de notre sport.
Oui : « Avec et pour les gens » Une devise forte. Pour laquelle, je milite depuis de nombreuses années.
Voila la clé de voûte du système PREMIER de gestion de la FRME.
Autrement dit, il s’agit qu’une question de mentalité en premier lieu. Un vaste thème. Lié à l’éducation, à la culture, à la compétence, et à l’expérience, non seulement du président de la Fédération et des membres de son bureau, mais aussi des dirigeants des clubs marocains en général.
Malheureusement au sein de notre sport, et très sincèrement, il y une forte dose de mentalités « tordues ». C’est le terme juste. C’est un constat personnel. Que d’opportunistes remplissent le paysage échiquéen national notamment depuis des années... Sans qu’ils puissent apporter une simple petite pierre ou une petite prière à la construction de l’édifice échiquéen marocain dans lequel ils veulent avoir leurs mots quand ça les arrange ! Ne pas dire cette évidence serait trahir tous celles et ceux qui se sacrifient pour que vive une pratique sportive noble en dépit des difficultés qui ne manquent pas de jalonner leur chemin. Et qui méditent en silence, en souffrance aussi.
Qui est-ce qui étouffe notre sport et l’empêche de se libérer totalement vers les grands espaces d’air frais et de progrès ? C’est cette mentalité ! Qu’on ne s’y trompe pas. On peut refonder la FRME dans tous les sens qu’elle ne pourrait pas évoluer avec cette mentalité « tordue ». Parce que les réformes porteuses d’avenir ne peuvent que nuire aux esprits « tordus ». Parce que la « stagnation ou le recule des échecs marocains ne peut que faire d’eux des « hommes compétents » alors que le développement et le progrès de notre sport menacent de « dépasser » leur microscopique compétence et mettre ainsi à nu leur esprit « tordu ». Vraiment.
Donner l’importance qui lui est due à cet aspect intellectuel relatif à la « mentalité » d’un président ou d’un dirigeant de club serait à mon sens faire avancer bien des choses et bien des comportements.
Comment ?
• Organiser régulièrement des séminaires thématiques de formation et d’information en faveurs des dirigeants ;
• Appliquer les règlements avec fermeté, c’est-à-dire à 100 et 1 % pour tous sans exception ;
• Etablir un cahier de charge auquel devra répondre toute nouvelle création de clubs (Nombre d’adhérents-équipe de 8 séniors-équipe de 6 juniors-équipe de 6 jeunes-équipes de 6 filles-avoir un arbitre national et un entraineur dans un délai au moins deux années- respecter les AGO annuelles avec l’élection du tiers sortant – Remettre à la FRME un programme d’activité intérieures- etc).
Car,
• Aucun président n’a organisé des séminaires thématiques en faveurs des dirigeant et ce depuis la création de cette pauvre Fédération ;
• Aucun président n’a jamais appliqué les règlements à 100 % depuis la création de cette pauvre Fédération ;
• Aucun président n’a jamais œuvré pour la qualité. La priorité à toujours été donné pour la quantité éphémère.
Savez vous que la règlementation actuelle permet à n’importe quel opportun (ne parlons des gens compétents et à la volonté claire d’œuvrer en faveur de leur club) de s’introduire dans la famille échiquéenne, de dicter sa loi ? Alors, imaginez que, quand ils se trouvent nombreux, ils freineront naturellement, avec becs et ongles, tout progrès digne de ce nom. En particulier s’ils s’introduisent au bureau fédéral pour ne pas dire la présidence...
Savez-vous que nombreux sont les clubs « style coquille vide » qui se hissent à égalité avec les clubs structurés et s’arrogent le droit de décider de la vie des échecs marocains ?
Oui nous avons tout cela et amazal en tête !
Ainsi, si la Fédération était présidée par un homme à la « mentalité » porteuse, réformatrice, respectueuse des valeurs tant humaine que de la bonne gestion (avec un bureau du même genre), il ferait en sorte de combattre également ces « mentalités » « tordues » au moyen de ce qui précède ci-haut, notamment. La FRME, les cadres, les joueurs et l’image de marque des échecs marocains auront une échelle solide pour sortir du trou d’aujourd’hui et s’élancer vers les cieux azurs.
A suivre : 2. LES RESSOURCES HUMAINES
Le 14/08/2022
Jamila Yougane. Maître national féminin depuis 2004. Maître international féminin en 2004.
- Championne du Maroc en 2004.
- Championne du Maroc Juniorette en 2004.
- Championne d'Afrique Juniorette en 2004.
- Championne du Maroc Minimettes en 2001.
- Elo Maximum: 1724 (Octobre 2006).
Le 13/08/2022
C.V. de Mr. Boujemâ Kariouch
Maroc Echecs
Publié le mardi 30 septembre 2008.
Le Curriculum-Vitae échiquéen de Boujemâ Kariouch.
Boujemâ KARIOUCH :
Né le 2/11/1956 à Meknès.
A vécu son enfance et sa jeunesse en France (Valberg, Juan - Les Pins, Antibes, Nice)
Marié : 1 enfant : Najat (fille de 18 ans)
Profession : Fonctionnaire Municipal, chargé de la formation du jeu d’Echecs au Club Olympique de Tennis de Khémisset (Club dépendant de la Municipalité de Khémisset)
FORMATION :
Niveau scolaire :
•Baccalauréat Lettres modernes, type français (éducation et étude scolaire en France-Nice)
Autres formations :
•Gestion administrative et technique
•Informatique (traitement et mise forme, utilisation de différents programmes, Internet)
•Comptabilité générale
Divers :
•Culture générale vaste Maroc et internationale (politique, économique, sociale, scientifique culturelle, artistique, sportive…)
Langues :
— Français (langue naturelle : parlée, écrite et lue)
— Arabe : Lue et parlée
— Anglais et Espagnole : notions
FONCTIONS ACTUELLES :
•Formateur chargé des Echecs au Club Olympique de Tennis de Khémisset
•Animateur associatif
COORDONNEES :
Domicile : 56, rue Oued Dijla, quartier Zahra Khémisset 15000 Maroc
Tél. : gsm : 053 66 70 45 // Fax : 037 55 00 30
Travail : Club Olympique de Tennis, avenue Mauritania, Khémisset 15000
Tél. / Fax : 037 55 00 30
Email : kariouch_boujemaa@yahoo.fr et boujema-voilavoila@hotmail.com
Site personnel : www.kariouch.echecs.ma
CARRIERE ECHIQUEENNE (1973 - 2008)
DEBUT AUX ECHECS :
1974 / 1975 : Membre joueur du Club Alékhine de Nice (FRANCE) (Joueur amateur, occasionnel)
EN TANT QUE JOUEUR
- 1975 et 1978 : Joueur du Club Chabab El Waï de Meknès (2/3eme table de l’équipe 1ère)
- 1975 et 1976 :Champion de Meknès
- 1983/85 :Participation à des Tournois par Correspondances (AJEC)
- 1988 et 1990 :Champion de Khémisset
- 1988/2008 : Membre titulaire de l’équipe du Club Faras puis de l’IZK
- 1988/2000 : Vainqueur de plusieurs Tournois locaux
- 1988/2008 : Participations à divers Tournois locaux et nationaux
- 1991 : 2eme au Tournoi National d’Inezgane
EN TANT QUE DIRIGEANT
- 1979 : Fondateur du Club Jeunesse PTT Echecs de Meknès et de l’Ecole Sportive Meknassie des Echecs (développement jeunes)
- 1986/1987 : Résidence à Khémisset > Intégration au Club Fars d’Echecs de Khémisset.Par M.Khalid Chorfi
- 1988/90 : Secrétaire général du Club Faras d’Echecs de Khémisset
- 1988/89 : Secrétaire-général de la Ligue du Nord-Ouest
- 1989/90 : Président de la Ligue du Nord-Ouest
- 1990/91 : Président de la Ligue du Gharb après découpage de la Ligue du Nord-Ouest
- 1991/99 : Vice-président / Secrétaire-Général/ Assesseur de la Ligue du Gharb
- 2000/08 : Directeur Technique de la Ligue du Gharb
- 1993/2008 : Président / Vice Président / Secrétaire-Général du Club IZK Echecs
- 1992 : Désigné Président de la commission nationale de l’Arbitrage sous la présidence M.Kamal Skalli. Mais Feu Skalli a démissionné de la FRME.
- 1993/96 : Membre des commissions nationales de l’arbitrage, de l’information et technique sous la présidence de M.Ahmed Jaâfari
EN TANT QU’ENSEIGNANT/ ANIMATEUR DES ECHECS
- 1978/2008 : Enseignant du jeu d’Echecs : jeunes des Clubs de Meknès (1978/86) puis à Khémisset au sein du club Faras, puis l’IZK et dans les établissements scolaires et sociaux.
- 1988/2008 : Directeur de l’Ecole des Echecs du Club IZK
- 2008 : Enseignant/animateur au Club Olympique de Tennis de Khémisset
EN TANT QU’ENTRAINEUR / FORMATEUR
- 1988/2005 : 52 titres acquis par les jeunes du Club Faras puis IZK aux niveaux régionaux nationaux, maghrébins, arabes et internationaux
- 1988/2008 : Confection de cours et cahiers technique de formation de base d’Echecs
- 1994/2003 : Formateur : arbitrage, entraîneur et animateur.
- 2001 : Entraîneur de l’équipe nationale des jeunes moins de 10,12 et 14 ans (Deux stages à Casablanca (5 jours) et Rabat (4 jours) et accompagnateur au championnat arabe de Foujairah (EAU)
- 2004 : Encadrement du Stage de formation des entraîneurs III à Fès
- 2005 : Encadrement du Stage de formation des entraîneurs III à Settat
- 2008 : Formation continue au Club Olympique de Tennis (salle des échecs) Khémisset
EN TANT QU’ARBITRE / ORGANISATEUR
- 1988 : Titre d’Arbitre National après un Stage d’El Jadida
- 1993 : Titre d’Arbitre international après stage de Tunis (Tournoi zona ! n°4-1 comptant pour le cycle du championnat du Monde) Satisfaction des Tunisiens, (cumul de la fonction de Chef de la Délégation Marocaine : Hamdouchi Hicham, .Bennis Zakaria, El Bilia Jacques. 1ère place : Hamdouchi Hicham
- 1988/2005 : A Arbitré une multitude de Tournoi nationaux à tous les niveaux, sans compter les niveaux régionaux et locaux. Arbitre-adjoint du Tournoi international de Casablanca (siège Wafabank) : 3è norme de GMI de Hamdouchi -Arbitre Adjoint du Tournoi International de Rabat(2). Arbitre-adjoint au Grand Prix International de Sa Majesté Mohammed VI à El Jadida et au tournoi Zonal de Taza (Maroc)…
- 1988/2008 : A assuré la base formatrice des cadrés de Khémisset qui sont devenus Arbitre Nationaux : Saïd Nafri, Mohamed Kharroufi, Driss Stittou, Sanae Lakdadra (féminin), Jamal Messala (handicapé) et actuellement Khadija HASSI.
- 1989/2003 : Organisateur de nombreux tournois/matchs/Festival aux niveaux nationaux, régionaux et locaux (FRME, Ligue, Autorités provinciale et locale, ministères et établissements…
- 1988/89 : Responsable de la couverture de presse des activités de la FRME au niveau de la presse nationale langue Française/arabe
JOURNALISME ECHIQUEEN
- 1976/1985 : Correspondant pour le Maroc de la revue international « EUROPE-ECHECS »
- 1978/79 : Chroniqueur d’Echecs au journal L’OPINION
- 1989/1995 : Chroniqueur d’Echecs du Journal ALMAGHRIB
- 1992/95 : Chroniqueur d’échecs aux journaux AL BAYANE (page « Spécial Echecs » et l’hebdomadaire « MAROC-HEBDO »
- 1992/1995 : Collaborateur aux journal LIBERATION
- 1999/2003 : Collaborateur au journal régional « AT-TANMIYA RIYADIA »de Khémisset
- 2006 : Rédacteur site www.maroc-echecs.com
- 2007/2008 : Administrateur et rédacteur site www.maroc-echecs.com et www.amadeus-echecs.org
- 2008 : Rédacteur en chef adjoint site www.maroc-echecs.com
AUTRES...
- 1993 : Membre fondateur du Conseil de la maison des jeunes 20 août de Khémisset
- 1994/2004 : Membre fondateur des association des correspondants des journaux nationaux à Khémisset et Amicales des correspondants de Khémisset et du Club de la Presse Khémisset
- 1995/2008 : Fonction dans associations, sportive, artistique, social et éducative, culturelle locales de Khémisset (Vice-président – Secrétaire général, Trésorier et assesseur.
- 2001/2008 : Fondateur-Président de l’association nationale Al Fath de Solidarité avec les Personnes Handicapées (9 sections et plus de 1800 adhérents)
- 2004/2008 : Membre fondateur et Président de l’Association Khémisset pour la Culture et l’Art
- 1986/2007 : Cadre de la Maison des jeunes 20 août de Khémisset
- 1994/1998 : Directeur du Club Olympique de Khémisset
- 1998 : Fonctionnaire 2ème d’arrondissement Urbain de Khémisset (Service des affaires Générales puis Service Economique et Social)
DISTINCTIONS
- 1988/89 :Hommage reçu de la FRME sous la présidence de M.Abdelouahed Fassi Fihri) pour la couverture de presse des activités de la FRME Au niveau de la presse nationale langue Française/arabe
- 1993 : Hommage reçu à Mohammedia par la FRME sous la présidence de M.Ahmed Jaâfari, la province et le club local à la suite du Titre d’Arbitre International
- 2001 : Hommage reçu par la FRME sous la présidence de M.Mustapha Amazal pour le travail en faveur des échecs marocains
Le 13/08/2022
Zahira El Ghabi vit au Canada . Maître national féminin depuis 2002. Maître FIDE en 2005. Médaille d'Or Olympique en 2000.
Photo tirée d'un article sur Maroc Echecs en 2005 : Voir sur Youtube
- Double Championne du Maroc en 2002 et 2003.
- Championne du Maroc Minimettes 1998.
- Participation aux olympiades d'Istanbul 2000.
- Médaille d'Or de la 5ème table aux olympiades d'Istanbul.
- Elo Maximum : 2039 ( Janvier 2005)
Le 12/08/2022
Hind Bahji vit en France. Maitre national féminin depuis 1998.Candidat Maitre 2016.
Photo 2005
- Quintiple Championne du Maroc (1998,1999,2000,2001 et 2005). Un record.
- Double Championne du Maroc Juniorette (2000 et 2001).
- Championne du Maroc Minimette (1999).
- Championne du Maroc par équipe féminin (2016).
- Participation aux Olympiades d'Istanbul (2000) et de Bakou (2016).
- Elo Maximum : 2069 (Octobre 2008).